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mercredi 28 avril 2010

."Esclave d'un amour impossible" (extrait 1 )
Friday, February 26, 2010
« Esclave d’un amour impossible »


Quand Pilar se réveille le matin, elle se sent nostalgique. Elle, qui a surmonté les épreuves les plus dures, est impotente face à cet homme de 18 ans son cadet, qui a fait irruption dans sa vie. Elle se rend compte de jour en jour qu’elle devient l’esclave de son joug. Il est son geôlier et la tient, tel un bourreau et l’emprisonne dans son cœur froid. Elle n’arrive ni à l’oublier, ni à la reléguer dans les oubliettes de sa mémoire. Elle aimerait tant le haïr, mais elle en est incapable. Il l’ensorcelle et la séduit. Elle veut l’arracher de sa vie mais il est son boulet et il est lourd à porter.
Cependant, elle le désire ardemment et veut le vivre jusqu'à la dernière goutte, jusqu'à la lie, jusqu'à transformer sa vie en calvaire.
Elle veut sentir ses mains la frôler, la caresser et l’emporter au septième ciel.
Elle retarde le jour de la rencontre pour mieux savourer l’instant des retrouvailles, pour mieux sentir ses étreintes. 3

esclave d'un amour impossible.... (extrait 2)
Thursday, March 4,
Je te quitte tout en sachant que tu n'as jamais été sincère
Je te quitte tout en sachant que j’étais affamée de toi
Je te quitte tout en sachant que la vie a condamné d'avance notre relation.

Tu as entre tes mains mes écrits
Lis-les de temps à autre pour te rappeler que j'ai existé un jour.
Lis-les pour te rappeler que j’étais sincère jusqu'au bout.

Tu sais, j’ai été victime de mes rêves, de mes illusions.
Je suis allée à la rencontre de ma propre fin.
Je suis tombée esclave de toi et de ton sadisme.

Je te mentirai si je te dis que je suis guérie de toi, que tu ne me tiens plus sous ton enclave...
Mais une chose est sûre, j'ai commencé à défaire les chaînes qui me liaient à toi.....


N'oublie pas que je vis dans ma littérature. J'ai tissé autour de toi une histoire pour m'inspirer et remplir les pages blanches de mon cahier.

Tu continueras à exister dans mes rêves, mon imagination, mes mots.....
Tout nous sépare et rien ne nous rapproche
Tout ce qui advint entre nous était de la pure littérature

Tu as su remuer en moi tous ces sentiments enfouis au fond de mon être.
Tu as été un instrument du destin.

Je te remercie pour ce bref passage dans ma vie.
Je t’aime, mais je ne veux plus de toi.... Tu m'as suffisamment fait souffrir....
Escalve d'un amour impossible (extrait 3)







Pilar avait décidé de ne plus lui donner signe de vie mais elle lui avait promis de lui envoyer une conclusion à ses écrits le concernant. Et bien, c'est aujourd'hui qu’elle a eu envie de le faire.

Un soir depuis, une semaine exactement, elle a écrit ceci :
Cela fait déjà une semaine que je n'ai pas touché à mon crayon. Je ne trouve pas les mots pour écrire. Je suis desséchée, tarie; mon inspiration m'a lâchée. Elle m'a tourné le dos et m'a joué un mauvais tour. J'attends un signe de toi pour faire exploser tous ces sentiments qui bouillonnent au fond de moi. Cela fait déjà une semaine que je rêvé d'entendre ta voix chaude, que je souhaite lire un seul message de toi...

He, restons sur terre, n'espérons pas; que dois-je attendre de quelqu'un qui n'a pas encore atteint la trentaine? Que dois-je espérer de cette relation mort-née?
Je dois me clouer au sol et arrêter de rêvasser et d'espérer. Ce fut une utopie, une période puérile qui m'a fait planer.

Je dois écrire pour t'extérioriser, pour t'effacer de mon existence. Je t'éliminerai avec mes mots, je te rayerai de ma vie avec mon crayon. Je ne te donnerai plus forme avec mes phrases. Tu dois disparaitre à tout prix.

Depuis quelques jours, je fermais les yeux pour revoir en image ton visage disparate et pour me retrouver seule avec toi. Maintenant tout est fini. Le rêve s'est arrêté, Là. Je ne fermerai plus les yeux pour chercher à te voir. Je me ferai aveugle et chasserai mes rêves. Je me ferai sourde jusqu'à oublier ta voix. Je me ferai toute petite pour que tu ne cherches plus à me voir.

Eh bien, c'est le dernier signe que je donne ... je ne sais pas si tu vas lire cette lettre, mais tôt ou tard tu le feras. J'espère qu'un jour je te détesterai, car sans que tu ne le saches tu m'as fait du mal. Laisse-moi te haïr avec amour…

TOI , TU TE TUES EN MOI..... 18 MARS

Tu viens te glisser dans mon lit froid
Te lover tout pres de moi
Tu prends la forme de mon corps.

Tes baisers me coupent le souffle
Ta bouche cherche la mienne
Tes doigts furetent mon gouffre.

Tu coules en moi tout doucement
Ton corps plonge dans le mien
Tu serres encore plus tes etreintes.

Tu te laisses envahir d'emotions
Tes reins se cambrent, se raidissent
Tu es au summum du desir.

Tes doigts dechirent ma chair
Tes levres mordillent mon lobe
Ta jouissance est si proche.

Tu pousses un rale ....
Tu gemis.....
Tu te retires....satisfait.

Te voila de ma chair repu
Toi, l'ange au visage dechu
Ta semence au fond de moi git.

TOI, TU TE TUES EN MOI....

HOMME DE PAPIER

Je sens ta présence
Malgré les distances
Un flot d’émotions intenses
Submerge mon être
Mon corps tremble et frissonne
Je me sens des ailes, qui, peut-être, un jour
M’emmèneront vers toi…

Tu as débarqué dans ma vie, toutes armes dehors
Tu as jeté sur moi ton dévolu,
Tu m’as rendue prisonnière de tes mots,
Esclaves de tes vers…
Bourreau de mon cœur,
Je sais que tu ne seras jamais à moi.
Bien que tu sois Mirage,
Je te cherche parmi les visages.
J’entends ta voix dans le chant des roseaux
Qui ondulent au gré de tes notes suaves.
Je sens tes doigts pianoter sur mon corps qui frissonne et tremble sous ton emprise peu sage.
Je hume ton odeur virile qui réveille mes sens sauvages.
Viens, approche-toi, prends forme.
Tourne ton regard vers moi, couvre mon corps de ton corps plein de rage.
Pour toi, mon Mirage, pour percer ta témérité,
Je serai Eternel afin d'assouvir tes désirs,

Je me ferai Féminin pour t'inviter dans mon alcôve
J'Enlèverai mon Litham, je serai Libre comme un Yearling

Tu goûteras à ma chair,
Tu croqueras mes rondeurs.

Je sentirai la texture de tes lèvres gourmandes
Sur ma peau basanée

Je viendrai vers toi, telle une tigresse,
Nue sous mes habits,

Tu me marqueras de ton sceau viril,
Je serai à toi...

Je sentirai tes lèvres suaves sur mon cou
Et je pencherai la tête à droite

Pour mieux te retenir le plus longtemps possible
Contre mon cœur, contre ma peau....
Tout feu, tout flamme

Relaxe-toi …..Ferme les yeux…. Et pense à moi….qui languis de toi.
Entends mes doigts courir sur ta peau.
Sens la fièvre de mes lèvres qui se précipitent sur ta bouche pour boire à ton jus et ressusciter l’homme qui dort en toi.
Brûle –toi du feu de ma passion qui grave ton âme du sceau de ma féminité.
Résiste à mes baisers fougueux.
Reçois la fièvre de l’amour et du désir que je mettrai dans ton cœur….
Laisse-moi t’aimer avec amour,
Sois ma drogue.
Enveloppe-moi dans tes sables mouvants.
Enfonce-moi dans les replis de ton cœur.
Remplis –toi de ma voix, de mes lèvres.
Embrase –moi du feu de ton corps.
Assouvis ta faim, cette faim que tu as de moi…

Je t’ai logé dans mon cœur, dans ma vie.
Je serai sulfureuse et toi adorateur de feu
Je serai le bois qui te brûlerait au lieu de te réchauffer,
Je me ferai volcan pour éteindre tes désirs.
Pourrais-tu résister à mes flammes ?
Pourrais-tu calmer mes ardeurs en déversant ton jus sur mon corps enflammé ?

Ranime la flamme qui agonise sous la cendre de mes amours défuntes.
Garde l’empreinte de tes doigts, de tes mains, de ton corps sur ma peau et dans mes entrailles….

Fuis-moi alors qu’il est encore temps ; je te brûlerai tel un phalène qui, ébloui par la lumière, ne sait pas encore que sa mort est imminente….

DECLARE- MOI, EXCLUE DE TA VIE.
Avril 2010

DU REVE A L'ÉSPOIR...AU DESESPOIR

Réponse à l’une des notes ….


Je suis survivante à mon imagination,
J’ai risqué de me noyer pour la énième fois,
Mais, in extremis, j’ai pu me sauver…

J’ai comprimé toutes ces illusions dans ma tête, dans mon cœur…
Et mon sang a giclé plusieurs fois dans mes veines.
Je me suis encore piégée dans mes rêves les plus fous…
Parce que j’ai cru en toi.
J’ai cru que mes plaies seraient cicatrisées, qu’il n’y aurait plus de traces à mes malheurs….
Mais, ce jour-là, j’ai affronté la dure réalité, cette réalité amère d’être rejetée, bannie de ton existence.

J’ai encaissé encore une fois, un coup.
Tes doigts ne peuvent plus essuyer mes larmes. Tu ne m’entendras plus crier ma peine. Je ne me lamenterai plus.
Je fermerai l’accès à tous les chemins sinueux qui faisaient naître en moi une douleur lancinante, une souffrance insupportable.
Je n’avancerai plus vers toi : tu fais désormais partie de ces gens qui m’ont enlisée dans l’inertie, qui ont brimé mes sentiments, qui ont fait couler mes larmes….

L’incertain, l’’incertitude m’empêchent d’être courageuse. Je suis encore fragile, indécise, impuissante devant le sort qui s’acharne sur moi… tu ne pourras plus jamais m’épargner cette peine, car tu es devenu le Problème. Tu ne pourras jamais m’aider à surmonter tout cela….

Je suis encore fatiguée, lasse et j’aimerais plonger dans le gouffre de l’oubli et dormir pour ne plus me réveiller…
Je ne voudrais plus comprendre, plus raisonner.
Je ne voudrais plus croire aux rêves trompeurs.
Tu ne pourras jamais effacer mes ennuis, ni me faire oublier mon désespoir…. Car tu es le Désespoir.

Mes larmes se sont taries, mes sanglots se sont étouffés.
Le vent a balayé mes joies, les nuages noirs se sont précipités et les éclairs fulgurants déchirent ma sérénité.
Mon cœur est bombardé par la foudre.

L’Espoir qui « avance tout doucement » a rebroussé chemin, faute de Guide…
Cet Espoir, c’est toi qui me l’as retiré.
C’est toi qui m’as plongé de nouveau dans le désespoir gris.
Tu as éteint le feu qui brûlait en moi.
Je ne t’allumerai plus jamais et je ferai tout pour être fumée et disparaître de ton âtre avec le vent.
Je ne serai plus Eternel Féminin, la Femme qui allume tes désirs… celle qui t’as promis une nuit d’amour à la belle étoile, lovés tous les deux dans l’herbe frissonnante….

Je vais tout lâcher, tout casser
Je vais rompre les liens qui m’unissent à ce monde virtuel, noyé dans les affres de l’hypocrisie, dans les remous de la chair.
Je tire ma révérence, je ferme le rideau et je m’en vais les poings dans les poches…..
Réponse à l’une des notes ….
Du Rêve … à l’Espoir….à la Désillusion….

Je suis survivante à mon imagination,
J’ai risqué de me noyer pour la énième fois,
Mais, in extremis, j’ai pu me sauver…

J’ai comprimé toutes ces illusions dans ma tête, dans mon cœur…
Et mon sang a giclé plusieurs fois dans mes veines.
Je me suis encore piégée dans mes rêves les plus fous…
Parce que j’ai cru en toi.
J’ai cru que mes plaies seraient cicatrisées, qu’il n’y aurait plus de traces à mes malheurs….
Mais, ce jour-là, j’ai affronté la dure réalité, cette réalité amère d’être rejetée, bannie de ton existence.

J’ai encaissé encore une fois, un coup.
Tes doigts ne peuvent plus essuyer mes larmes. Tu ne m’entendras plus crier ma peine. Je ne me lamenterai plus.
Je fermerai l’accès à tous les chemins sinueux qui faisaient naître en moi une douleur lancinante, une souffrance insupportable.
Je n’avancerai plus vers toi : tu fais désormais partie de ces gens qui m’ont enlisée dans l’inertie, qui ont brimé mes sentiments, qui ont fait couler mes larmes….

L’incertain, l’’incertitude m’empêchent d’être courageuse. Je suis encore fragile, indécise, impuissante devant le sort qui s’acharne sur moi… tu ne pourras plus jamais m’épargner cette peine, car tu es devenu le Problème. Tu ne pourras jamais m’aider à surmonter tout cela….

Je suis encore fatiguée, lasse et j’aimerais plonger dans le gouffre de l’oubli et dormir pour ne plus me réveiller…
Je ne voudrais plus comprendre, plus raisonner.
Je ne voudrais plus croire aux rêves trompeurs.
Tu ne pourras jamais effacer mes ennuis, ni me faire oublier mon désespoir…. Car tu es le Désespoir.

Mes larmes se sont taries, mes sanglots se sont étouffés.
Le vent a balayé mes joies, les nuages noirs se sont précipités et les éclairs fulgurants déchirent ma sérénité.
Mon cœur est bombardé par la foudre.

L’Espoir qui « avance tout doucement » a rebroussé chemin, faute de Guide…
Cet Espoir, c’est toi qui me l’as retiré.
C’est toi qui m’as plongé de nouveau dans le désespoir gris.
Tu as éteint le feu qui brûlait en moi.
Je ne t’allumerai plus jamais et je ferai tout pour être fumée et disparaître de ton âtre avec le vent.
Je ne serai plus Eternel Féminin, la Femme qui allume tes désirs… celle qui t’as promis une nuit d’amour à la belle étoile, lovés tous les deux dans l’herbe frissonnante….

Je vais tout lâcher, tout casser
Je vais rompre les liens qui m’unissent à ce monde virtuel, noyé dans les affres de l’hypocrisie, dans les remous de la chair.
Je tire ma révérence, je ferme le rideau et je m’en vais les poings dans les poches…..

samedi 10 avril 2010

QUAND J''ECRIS....

J’AIME QUAND…

J’aime quand tu te penches sur moi et que tu me murmures des mots d’amour
« Tu es ma reine pour toujours »
J’aime quand tu me tiens la main et que tu me serres les doigts pour me dire
« N’aie pas peur, je suis là »
J’aime quand tu me regardes de tes yeux langoureux qui me supplient de rester cette nuit et d’autres nuits encore
« Reste, j’ai envie de toi »
J’aime quand tu me promets de me rencontrer ici, ailleurs ou dans un lieu magique.
« Quand peux –tu venir ? »
J’aime quand tu veilles sur mon sommeil, même quand tu es absent.
« Dors paisiblement, tes anges veillent sur toi »
J’aime sentir ton souffle chaud sur mon cou qui m’invite à te rejoindre au – delà de tous les obstacles
« Sois à moi »
J’aime quand nous ne pouvons plus résister à la tentation de nous toucher, de nous aimer
« J’aime savourer ta chair »
J’aime quand tu m’aimes et que tu me fais sentir que je suis tienne
« Je suis en toi et toi en moi »
J’aime quand tu me promets qu’un jour je me blottirai dans tes bras
« Viens rester au creux de mon cœur »
J’aime quand à des kilomètres de moi, tu me couves de tes yeux virtuels
« Je te protège même à distance »
J’aime quand mon sang gicle si fort parce que je sais que tu penses à moi
« Ne m’oublie pas »
J’aime quand tu m’envoies des baisers virtuels qui me font rougir de pudeur
« Je t’envoie pleins de Smacs »
J’aime quand tu me réconfortes et me dis que je suis forte
« Ne flanche pas, j’ai besoin de toi »
J’aime quand tu me conseilles de transcrire ma vie, mes sentiments, mes rêves et mes folies
« Eternelle poétesse »
J’aime quand tu fais parties de mes occupations, de mes attentes fiévreuses et de mes envies
« Quand pourrais-je te voir ? »
J’aime quand tu m’encourages à avancer dans la vie, à éliminer tout ce qui entrave mon bonheur
« Vis, tu le mérites »
J’aime quand tu me dis que je suis la joie de vivre
« Gagne ta revanche autrement »
J’aime quand tu m’apprends à être femme romantique, sensuelle et passionnée
« Je te désire, Eve »
J’aime quand tu vois en moi l’âme sensible, le cœur débordant d’amour
« Sois heureuse »
J’aime quand tu m’écris
« Exprime tes désirs, ton amour, ta passion ; je suis sûr que tu y trouveras un grand plaisir »

J’aime quand je dois affronter mon destin à n’importe quel prix, simuler le bonheur afin de stimuler les autres…. « Materne-moi »

J’AIME QUAND JE TE CRIE « J’AIME LA VIE PARCE QUE TU EN FAIS PARTIE… »

lundi 5 avril 2010

Je Retiens ...

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JE RETIENS TA VOIX DANS MES OREILLES, CETTE VOIX SI DOUCE QUI ME MURMURE DES MOTS D'AMOUR ...

JE RETIENS TON SOURIRE POUR ILLUMINER MES JOURS SOMBRES PASSES LOIN DE TOI .... JE RETIENS TON ODEUR VIRILE AU CREUX DE MA MAIN ....

JE RETIENS TES BAISERS ARDENTS TOUT AU FOND DE MON COU ...

JE RETIENS TES DOUCES CARESSES RAGEUSES QUI FONT FRISSONNER MON CORPS ...

JE RETIENS LE GOUT DE TES LEVRES HUMIDES ET DE TA LANGUE GOURMANDE QUI CHERCHENT MES RECOINS ....

JE RETIENS LA TEXTURE DE TES DOIGTS QUI FURETENT AU FOND DE MOI ....

JE RETIENS TES PRUNELLES NOIRES QUI ME DESIRENT ET ME REGARDENT TENDREMENT ....

JE RETIENS TON TORSE NU QUI M'ENLACE ET ME SECURISE .....

JE TE RETIENS EN MOI, EN CROISANT LES JAMBES AUTOUR DE TA TAILLE ...

JE TE RETIENS, TU ES MON PRISONNIER AU-DELA DES ANNEES