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lundi 20 décembre 2010

L'HIVER DE MA VIE



Pareille à une forêt lacérée sous le fouet de la tempête,

Ma vie est en déroute.



Eperdue, tels les nuages d’hiver,

J’avance dans le ciel sombre de mon existence.

Le froid de la solitude m’envahit

Son lourd regard pèse,

Son gémissement souffle en rafales brusques

Ses ténèbres cachent la Lumière du salut, de la rédemption.

L’innommable, l’indescriptible

S’avance vers moi et,

Ce monstre travesti s’agrippe à mon corps,

Prêt à le happer.

Le repousser ?

Je n’en ai guère la force.

Je chausserai les bottes de sept lieues et

D’un bond sortirai de ce bourbier,

Avancerai dans le tunnel obscur

Vers la Lumière scintillante…

mercredi 17 novembre 2010

CE N'EST QU'UN AU REVOIR, MES AMIS VIRTUELS


Ce n’est qu’un au revoir, mes amis



Je vis dans deux mondes différents : le monde virtuel, mon nouvel Univers, dans lequel je me mets à nue, je me dévoile et ne porte pas de masque pour sauver les apparences. Oui, je suis réellement Eternel Féminin. Je suis Moi, dans mon entité, en toute pureté, sans aucun artifice, nue comme un ver.

Ce monde virtuel me fascine, m’ensorcelle ; il fait partie de mon quotidien, de mes joies et de mes peines, de mes humeurs.

Ce monde virtuel empiète sur ma réalité au point que j’oublie qui je suis. Je me suis laissé aller aux illusions, aux promesses dérisoires, aux attentes fiévreuses. Je me suis liée d’amitié avec des personnes extraordinaires.

Je suis tombée sous le charme de la plume d’un Mirage Téméraire, j’ai connu Illusions que j’ai aimée…Mouette a sillonné mon ciel…Mus a fleuri mon mur…Jel a transformé mes humeurs selon ses modes quotidiens, mon cœur a battu d’amour pur et sincère pour une personne qui m’a appris à rester Zen et calme, malgré tout. J’ai été insultée, blessée par des femmes jalouses….

Cependant, ce monde virtuel m’a leurrée. Il a provoqué des querelles conjugales, a envahi mon monde familial, m’a éloigné de mon travail, de mes filles…et surtout, il m’a leurrée, encore et encore….

Je prends donc la décision de mettre un terme à tout. Je me retire, juste le moment de prendre du recul. Ceux qui m’aiment savent ou me trouver. Je me désiste… je veux redevenir celle qui n’a pas été leurrée par RA, le soleil de la vie…

A bientôt, mes chers amis…

Je quitte le cœur en larmes…

A un de ces jours…

Je dois recoller les débris de ma vie…

Essayer de sauver mon ménage…

Vivre dans ma réalité…dans le monde réel ou je dois cacher mes fantasmes, voiler ma souffrance, sauver les apparences et faire partie de ces gens parfaits que rien n’ébranlent.

mercredi 3 novembre 2010

RESTONS AMANTS


Restons amants

Nos rencontres clandestines auront un goût osé

Restons amants,

Je te transporterai sur les ailes de la passion

Nous volerons au gré de nos caresses

Tu butineras mon nectar

Te saouleras de mes étreintes



Restons amants

Encore cette nuit

Et d’autres nuits encore

Tu vogueras sur les ondes du désir

Baigneras dans les flots de mon corps

Te noieras dans mon liquide sucré.



Restons amants

Restons enlacés

A la recherche de nos fantasmes

Assouvissons nos fougues

Restons amants

Croquons la pomme du péché

Défions les tabous



Restons amants

Je serai ta tentation

Ton fruit défendu

Ton serpent tentateur

Ton ange diabolique

Ton diable angélique

Je serai le dragon crachant du feu

Le feu de la passion, du désir



Restons amants….

Tu ne le regretteras pas.

LA MER




La mer inlassablement
Couvre de son écume
Mon corps transi par l’amour.

La mer admirablement
Me fait l’amour,
Et de son eau si douce
Me berce vers les horizons lointains.

O vagues si pures !
Pénétrez mon âme si lasse, si tourmentée !
Transportez mon désespoir vers les voûtes lointaines
Où je pourrais enfin retrouver ma joie.
Enfoncez-moi dans ces profondeurs bleues
Où je vivrais dans un monde vaste.

La mer doucement
Emporte mon corps vers le paradis,
Vers la liberté et la pureté.

La mer tendrement
M’enlace de ses longues ondes
Me libère des supplices tant endurés
Depuis des années.

Ô mer, ne me laisse plus amarrer
Transporte-moi loin, très loin
Dans tes plis si profonds.
Laisse-moi rejoindre mon bien-aimé
Laisse-moi l’aimer de tout mon cœur.

Le 5-5-1986

lundi 25 octobre 2010

POUR TOI MON MIRAGE




Pour toi, mon Mirage, pour percer ta témérité,
Je serai Eternel afin d'assouvir tes désirs,

Je me ferai Féminin pour t'inviter dans mon alcôve
J'Enlèverai mon Litham, je serai Libre comme un Yearling

Tu goûteras à ma chair,
Tu croqueras mes rondeurs.

Je sentirai la texture de tes lèvres gourmandes
Sur ma peau basanée

Je viendrai vers toi, telle une tigresse,
Nue sous mes habits,

Tu me marqueras de ton sceau viril,
Je serai à toi...

Je sentirai tes lèvres suaves sur mon cou
Et je pencherai la tête à droite

Pour mieux te retenir le plus longtemps possible
Contre mon cœur, contre ma peau....

dimanche 24 octobre 2010

MEA CULPA


Je suis qui ? Personne…
J’erre à la recherche de l’absurde…
Je me débats dans les sables mouvants de mon existence…
Je m’enlise dans les remous de la chair…
Et m’enfonce dans leur marasme …
Je suis la proie des tentacules diaboliques….
Je brûle, je me calcine, je risque de partir en fumée…

Un jour, j’ai quitté la Lumière qui baignait mon existence pour me réfugier dans les ténèbres où je n’entendais que cris et grincements. Je croyais que la vie s’y trouvait mais je ne savais pas que mon âme agonisait. Je voyais la Lumière au loin, mais lui tournais le dos… j’ai sonné à toutes les portes du désir et des joies éphémères, croyant trouver la joie de vivre. J’ai oublié qu’il fallait que j’ouvrisse la mienne, celle de mon cœur pour T’y laisser entrer, Toi qui attendais dehors, le cœur palpitant d’amour, tremblant de peur pour moi, car Tu me voyais aller vers ma perdition, vers la mort de l’âme…
A l’ombre de tous ces océans déchaînés et des tempêtes dans lesquelles je me débats, je Te tends la main…Envoie- moi ton Etoile, l’Etoile du Berger pour m’indiquer le chemin de la délivrance…
Je T’ouvre enfin la porte. Je T’invite à y entrer…
D’un geste de la main, viens balayer mes erreurs, chasser les nuages noirs qui obstruent ma vue…

Oh Seigneur ! Je me sens revivre, mon cœur bat de nouveau…

mardi 19 octobre 2010

JE SUIS TOUTES LES FEMMES


JE SUIS TOUTES LES FEMMES, MAIS
IL NE TIENT QU’A MOI D’ETRE CETTE FEMME….

Mon univers est un mystère, c’est le point G, du monde de la perdition et du bonheur, le territoire du loup et le trône du roi. Toi l’invincible, le fort, te voilà désarmé devant les atours de cet ange diabolique.
Adolescent maladroit, faible et fier à la fois, tu as su, malgré tout, subjuguer Eternel Féminin auquel nul homme ne peut résister.

JE SUIS ETERNEL FEMININ,
LA FEMME IRRESISTIBLE, IRREMPLACABLE QUI EST A LA RECHERCHE DE L’ETERNEL MASCULIN, HOMME SPIRITUEL,
MAIS JE SUIS EGALEMENT TOUTES LES FEMMES :

ARACHNEE les attire dans sa toile et de ses douces caresses les tient prisonniers de ses fantasmes.

SIRENE les entraîne dans le sillage des flots de son corps qui ondule au gré des caresses ; ni cire, ni liens ne peuvent lui résister…

ETERNEL FEMININ les guide vers la transcendance et le désir sublimé.

SAUVAGEONNE déborde de créativité, vibrante.

EVE tente l’homme et le plonge dans le péché.

SERPENT l’incite à manger le fruit défendu, le fruit de la chair

GEISHA converse et l' initie au raffinement

INDIENNE est fidèle au foyer

MORGANE l'ensorcelle

SUIS JE LA BREBIS EGAREE?


Suis-je la brebis égarée ?
Le Loup sort de sa cage
Voulant assouvir sa rage
La Brebis égarée
Ne sait plus où se cacher
Elle hésite et tergiverse
Craignant que ce moment d’ivresse
Ne la lèse, ne la blesse.

Son cœur tambourine
Dans sa poitrine
Son corps tremble
Dans son ensemble
Telle une adolescente
Insouciante,
Le laissera-t-elle l’aimer ?
Ses profondeurs pénétrer ?
Toucher à son trésor ?
Et encore…

mardi 12 octobre 2010

LES ALEAS DU NET, L'ENGRENAGE D'UNE PASSION


La nuit .Tout est calme. Les rapaces aux griffes acérées sortent de leur antre, se précipitent sur leur clavier, suant, qu’ils tapotent avec furie. Acharnés, assoiffés de chair fraîche, ils furètent dans les coins et les recoins à la recherche de leur proie. Leur proie, c’est cette femme, tarie d’amour, délaissée par son conjoint et qui croit trouver dans cet écran un brin d’amour. Mais, elle ne sait pas qu’elle est tombée dans la nasse de ces jeunes mécréants, de ces pécheurs. Elle ne sait pas qu’elle est dans leur piège, tel un poisson qui frétille attendant sa délivrance inopinée. Elle ne sait pas qu’elle leur sert d’appât pour gonfler leurs bourses qui déverseront, quelques répliques plus loin, leur trop-plein de liquide gluant et argenté.
Ces loups-garous sortent de nulle part pour traquer de leur langue suave, enjolivée leur victime aux tétons gonflés de plaisir.
C’est cela les aléas du net, ce marketing de la rencontre. Hélas, tous les internautes sont tels des souris, qui, poussées par leur voracité, ne savent pas que le piège est mortel .

lundi 11 octobre 2010

RIDHA SARSAR

A UN AMI QUI A SU , MALGRÉ TOUT ME TENDRE LA MAIN, ÉCOUTER MON SILENCE , ETRE A MES COTÉS LES JOURS DE JOIE ET DE MOROSITÉ , JE DÉDIE CES QUELQUES MOTS POUR LUI RENDRE HOMMAGE.... QUE DIEU SOIT AVEC TOI ET EXAUCE TES VOEUX LES PLUS CHERS.....



R ien ne peut me séparer de toi

I rremplacable amour

D ans tes bras je retrouve la sérénité

H aine et dépit sont inexistants

A ntagoniste et envie aussi



S ans toi, morne et sans saveur est la vie

A vec toi je suis femme totale

R animeras-tu ma flamme ce soir ou

S emeras-tu ta graine d'intrépide voyageur?

A llah, Jésus et tous les saints bénissent l'amour

R amenent les élus a l'unisson

jeudi 7 octobre 2010

TES MAINS


Tes mains



Tes mains consolatrices essuient mes larmes, apaisent mon chagrin. Je m’appuie sur ton épaule et sens ton bien-être me gagner.

Tes mains câlines, à la texture soyeuse, s’enracinent dans mon être, fouillent mes profondeurs les plus secrètes, me guident vers le vrai amour. Je sens leur chaleur me pénétrer.

Tes mains protectrices m’enlacent, me soutiennent .Je sens leurs remparts m’envelopper, même à distance.

Tes mains inspiratrices m’écrivent les plus beaux poèmes d’amour. Elles font battre mon cœur, raniment en moi la femme. Je sens leurs mots raviver mon être.

lundi 4 octobre 2010

TES MAINS


-PRENDS -MOI DANS TES MAINS, ESSUIE MES LARMES, APAISE MON CHAGRIN.

TU ES ICI, TU ME CONSOLES... JE M'APPUIE SUR TON EPAULE ET SENS TA CHALEUR ME PENETRER...

TES MAINS S'ENRACINENT DANS MON ETRE, FOUILLENT MES PROFONDEURS LES PLUS SECRETES , ME GUIDENT VERS LE VRAI AMOUR.

JE SENS LEUR TEXTURE SOYEUSE, LEUR PROTECTION....

-Bien enraciné dans ma terre labourable,mes branches haut le ciel,enlacent ,soutiennent , ravivent de leur souffle,parfument de leurs fleurs et nourricent de leurs fruits.Je suis la vie,je suis l'amour!!!

lundi 20 septembre 2010


DANS LE DESERT DE MA VIE

Dans le désert de ma vie, tu es l’oasis qui a rafraîchi mes minutes, mes heures et mes jours et qui a assouvi mes rêves.
Cependant, tu es un mirage, le mirage aperçu au milieu de ce désert aride qu’est ma vie.
Ce mirage qui est une vision abstraite, qui n’a pas de forme mais qui réconforte, donne l’espérance et le bonheur, tous, hélas, éphémères.
Qu’es-tu revenu faire? Pour me laisser souffrir doublement ? Pour que je vive simultanément la mort et la vie, le désert et l’oasis? La réalité amère et le mirage réconfortant?










CHAQUE FOIS QUE....

Chaque fois que je m’enlise dans la boue de ma vie, tu es ici pour me secourir et me tendre la main pour me sortir de ce bourbier dans lequel je me débats.

Chaque fois que le sol s’ébranle pour m’aspirer, tu sors de derrière les nuages noirs et me retiens à la vie…
Il suffit que tu écoutes mon silence, que tu me regardes dans les yeux, que tu m’entendes soupirer, que tu me touches la main, que tu me voies de loin pour découvrir mes pensées les plus profondes.

C’est toi qui me retiens sur terre,
C’est toi qui me donnes la force de vivre, de continuer jusqu’au bout de mes rêves.
C’est toi qui me pousses à traverser ce tunnel si obscur….
C’est toi qui es l’espoir, ce pont jeté dans ma vie, pour me ramener à la vie….

lundi 28 juin 2010

NATURE

A toi qui aimes les levers et les couchers du soleil, je t’offre
Mes aurores sillonnées d’amour…
Mon clair de lune naissant…
Mes songes gorgés d’images féeriques…
Mes nuits peuplées d’étoiles nitescentes…
Mes jours illuminés par des soleils radieux…
Mes crépuscules parcourus de filaments cotonneux…
Mes étoiles filantes qui plongent dans le sillage des flots…
Mes astres nébuleux qui veillent sur les amants…

Je t’offre
Le chant d’un oiseau…
La caresse du vent…
La forme d’un nuage…
Ma source d’eau vive…

Tu seras le vent qui viendra chatouiller mes sens,
Tu seras l’eau qui coulera le long de mon corps,
Tu seras le feu qui attisera mes désirs,
Tu seras la terre ensemencée par ma sève,
Tu seras nuage et parcouriras le ciel de mes rêves,
Tu seras soleil et irradieras mes jours ténébreux.
7 juin 2010

TOI , MON BEL AMOUR

Ton baiser épouse la forme de ma joue
Il réchauffe mon cœur
Et chatouille mon cou….

Tes caresses explorent les zones sensibles de mon corps
Elles sont si douces, si indolores
Et me procurent un plaisir intense…
Tes mains insatiables s’avancent, effleurent
Mes commissures et s’attardent dans mes creux mouillés.
Ton corps dévore le mien.

Tes bras protecteurs me manquent
Tes doigts jouent dans mes cheveux
Tes yeux me couvent et me regardent évoluer sur la piste d’amour…
Tes mots réconfortants et sensuels me transportent au septième ciel
Ton sourire me réchauffe …

Tu es la lumière qui illumine mes nuits.
Tu es le volcan qui enflamme mes fantasmes
Tu es la rivière qui éteint mes désirs.
Ta présence redonne vie à mon âme endolorie.

Je m’accroche à toi…
Entends –tu ma voix qui t’appelle ?
Sens-tu la douceur de mes mains ?

Même si les étoiles ne scintillent plus,
Même si les rivières tarissent,
Même si la Terre arrête sa rotation,
Même si le soleil n’est plus chaud…
Je continuerai de t’aimer…

TU ES LA....

Quand je lâche les rames
Que le remous m’emporte
Que mon âme va à la dérive…
TU ES LA…
Pour tirer le bateau de ma vie à la force de tes rames.

Quand je suis égarée
Dans les labyrinthes de mes jours
Que je me cogne aux murs du silence…
TU ES LA…
Pour dérouler ton fil et me ramener à la sortie à la force de ton amour.

Quand je suis enlisée
Dans mes sables mouvants
Que je me débats pour refaire surface
TU ES LA…
Pour me tendre la main et me retirer à la force de tes désirs.

Quand je suis ligotée dans mes enclaves
Que je me démène sans issue et avec rage
TU ES LA…
Pour me libérer de mes entraves à la force de ta passion.

Quand je suis au plus bas de l’échelle
Que je tombe sans pouvoir me relever
TU ES LA...
Pour me soulever de mes tourmentes à la force de tes bras.

Quand je broie du noir
Que je suis seule chaque soir
Au comble du désespoir
TU ES LA…
Pour illuminer mes nuits à la force de ton sourire...

TU ES LA… C’EST TON DESTIN D’ETRE AVEC MOI…
2 juin 2010

L'OUBLI

L’OUBLI
Sens –tu la tristesse qui déchire mon cœur ?
Vois-tu les larmes qui creusent mes joues blafardes ?
M’entends-tu crier que je suis en manque de toi ?

Tu deviens désormais une ombre qui se dissipe de jour en jour.
Ton souvenir s’est effacé de ma mémoire
Tu es déjà à la porte de mon cœur dont j’ai fermé tous les abords.
Je ne veux plus te voir
Je refuse d’entendre ta voix.

Ma vie toute entière tenait à ton coup de fil.
Et, toi, tu ne daignais même pas me parler.
Je cède à la folie de t’écrire chaque fois que je languis de toi…

Tu étais mon paradis, mon éden,
Tu es devenu mon enfer, ma géhenne.

Tu as eu accès à mon jardin secret
Que tu as promis de garder comme la prunelle de tes yeux.
Je t’ai fait partie intégrante de ma vie, de mon être.

Va, éloigne –toi de moi.
Oublie-moi, sors de ma vie !!

Tu m’as poussée à marcher sur des brisants acérés qui ont égratigné mon amour-propre et ont tailladé mes nerfs.

TU ES MON PÉCHÉ, MON FRUIT DEFENDU

lundi 21 juin 2010

J'AIME QUAND....

J’AIME QUAND…

J’aime quand tu te penches sur moi et que tu me murmures des mots d’amour
« Tu es ma reine pour toujours »
J’aime quand tu me tiens la main et que tu me serres les doigts pour me dire
« N’aie pas peur, je suis là »
J’aime quand tu me regardes de tes yeux langoureux qui me supplient de rester cette nuit et d’autres nuits encore
« Reste, j’ai envie de toi »
J’aime quand tu me promets de me rencontrer ici, ailleurs ou dans un lieu magique.
« Quand peux –tu venir ? »
J’aime quand tu veilles sur mon sommeil, même quand tu es absent.
« Dors paisiblement, tes anges veillent sur toi »
J’aime sentir ton souffle chaud sur mon cou qui m’invite à te rejoindre au – delà de tous les obstacles
« Sois à moi »
J’aime quand nous ne pouvons plus résister à la tentation de nous toucher, de nous aimer
« J’aime savourer ta chair »
J’aime quand tu m’aimes et que tu me fais sentir que je suis tienne
« Je suis en toi et toi en moi »
J’aime quand tu me promets qu’un jour je me blottirai dans tes bras
« Viens rester au creux de mon cœur »
J’aime quand à des kilomètres de moi, tu me couves de tes yeux virtuels
« Je te protège même à distance »
J’aime quand mon sang gicle si fort parce que je sais que tu penses à moi
« Ne m’oublie pas »
J’aime quand tu m’envoies des baisers virtuels qui me font rougir de pudeur
« Je t’envoie pleins de Smacs »
J’aime quand tu me réconfortes et me dis que je suis forte
« Ne flanche pas, j’ai besoin de toi »
J’aime quand tu me conseilles de transcrire ma vie, mes sentiments, mes rêves et mes folies
« Eternelle poétesse »
J’aime quand tu fais parties de mes occupations, de mes attentes fiévreuses et de mes envies
« Quand pourrais-je te voir ? »
J’aime quand tu m’encourages à avancer dans la vie, à éliminer tout ce qui entrave mon bonheur
« Vis, tu le mérites »
J’aime quand tu me dis que je suis la joie de vivre
« Gagne ta revanche autrement »
J’aime quand tu m’apprends à être femme romantique, sensuelle et passionnée
« Je te désire, Eve »
J’aime quand tu vois en moi l’âme sensible, le cœur débordant d’amour
« Sois heureuse »
J’aime quand tu m’écris
« Exprime tes désirs, ton amour, ta passion ; je suis sûr que tu y trouveras un grand plaisir »

J’aime quand je dois affronter mon destin à n’importe quel prix, simuler le bonheur afin de stimuler les autres…. « Materne-moi »

J’AIME QUAND JE TE CRIE « J’AIME LA VIE PARCE QUE TU EN FAIS PARTIE… »

MON JOURNAL

J’ai décidé cette année de nommer mon carnet intime « Antigone ». Je cite ce que j’ai écrit ce jour-là ; Désormais je t’appellerai « Antigone », car tu seras la partie intime de moi-même. Tu es la femme qui vit pour l’amour et non pour la haine. Ton âme est morte depuis longtemps et tu désires la mort corporelle. Eh, oui. J’ai perdu mon âme, ma spontanéité, ma flamme, mon rire. J’ai perdu l’habitude de rire. Je ne sais plus ce que veut dire les mots joies, bonheur, amour et même amitié. Amitié, un mot qui n’existe plus pour moi, je n’ai plus d’amis, je n’ai plus de confidents : ce soutien moral me manque. Moi qui croyais aux choses spirituelles de l’existence, à la profondeur des gestes et des actes, me voila suspendue au matérialisme, à l’ironie et à l’incapacité. J’agis contre ma conviction, mes principes. Les activités que j’aime font désormais partie des archives, elles sont reléguées au fond de ma vie. Le romantisme, la sentimentalité sont bannis de mon dictionnaire.
Pourquoi cet esclavage ? Cette dépendance envers les autres? Les autres qui ne méritent même pas un sacrifice, même pas un mot gentil de ma part. Lunatiques et versatiles, indécis et hésitants, irresponsables et odieux, ils me rendent la vie impossible et invivable. Pourquoi ne pas fuir cette prison sombre et lugubre ? Pourquoi je ne laisse pas l’ombre pour la proie ? En effet, ils ne sont qu’une ombre dans ma vie, une ombre qui complique mon existence, qui éteint mes lueurs d’espérance, ma spontanéité, mes projets d’avenir. Vivre avec eux ? Pourquoi ? Me lier avec eux ? Les trainer derrière moi toute une vie, pour satisfaire mes souffrances. Je m’en dispense. Il faut avoir la volonté de tout casser, de tout renverser pour retrouver mon âme perdue.
Ces êtres incapables, odieux et menteurs. Ah, comme je les déteste ! Ils me traitent d’irresponsable et ne me donnent pas ma juste valeur. Ils me sous estiment et me «répudient» parfois. A vrai dire, je vaux plus qu’eux ; ma valeur intellectuelle est bien plus supérieure à la leur. Cependant, je ne puis pas vivre sans amour mais ce ne sont pas eux qui me le procureront. Alors pourquoi les trimbaler derrière moi ? Je dois me révolter et rencontrer enfin mon homme, l’homme de mes rêves, l’homme qui me convient, celui qui me donne ma juste valeur. Je ne veux plus être sous estimée et humiliée.
Pourquoi ne pas mettre un terme à cette situation invivable et intolérable ? Je dois me décider, je dois avoir la volonté de tout casser, de rompre ces fils de fer et d’acier. Antigone, aide-moi à me révolter, à prendre la décision de les quitter et de m’éloigner de ce genre de personnes qu’est la société masculine».


Le 17-2-1987

A VOUS MES FILLES

Quand vous lirez ces quelques mots, mes anges, je ne serais pas à côté de vous, je ne serais plus là pour vous dire : pensez à moi ! Je veux que dans ces mots tracés pour vous vous puissiez trouver tout ce qu’il y a dans mon cœur, tout ce qu’il y a dans ma vie, tout ce qu’il y a dans mes pensées. Je voudrais que ces mots et ces pensées révèlent combien je vous aimais et combien j’ai souffert dans la vie pour rester avec vous et vous élever dans la dignité et l’amour. Je voudrais que ces mots vous guident et vous servent de leçon, je voudrais que ces mots soient ma voix d’outre-tombe, mes conseils posthumes : suivez la voix de votre cœur, la voie de l’amour, le chemin de l’amitié. Ne vous fiez pas aux apparences. Quand vous lirez ces mots, je vous demande de ne pas me juger mal, mais de mieux me comprendre, de revivre dans la pensée ce que j’ai vécu et ce que j’ai enduré.
Vous êtes mes bien-aimées, mes joies, mes amours. Depuis que je vous ai mises au monde, vous avez mis la joie dans mon cœur, vous avez égayé mes jours et réchauffé mes nuits. Si j’ai supporté ma vie, c’est bien pour vous.
Je vous aime. Pensez à moi et priez pour moi. Je vous aime, mes chères enfants.

DES PENSEES ET MILLE REMERCIEMENTS



Trois pensées notées chez moi dans mon carnet:

"Que de regrets l'on a à découvrir trop tard, les qualités de ceux que l'on a dénigrés".

"Je suis ton prisonnier au - delà des années, puisque ton souvenir persiste à me hanter".

"Tous les hommes ont une douceur dans la vie, cela les aide à continuer ; c'est vers elle qu'ils se dirigent quand ils se sentent trop usés’’.
C’est moi qui ai des regrets peut être de ne pas t'avoir suivi quand tu m'as invitée à le faire depuis plusieurs années. C’est de tes qualités que je parle, toi qui étais à mon écoute même quand ce que je te racontais te causait de la peine, toi qui souffrais dans l'ombre sans me le dire, toi qui me conseillais quand j'avais des problèmes, tu le faisais tout en sachant que cela te faisait du mal. Je te remercie de tout mon cœur, toi mon ami d’enfance, qui étais et le demeure toujours malgré les années à être à mon écoute. Mais cette fois, les rôles ont changé puisque c'est moi qui souffre.

C’est moi qui suis ta prisonnière au -delà des années. C'est ton souvenir qui continue à me hanter, malgré les années et les distances qui nous séparent.

C’est toi qui es ma douceur, ma joie de vivre, mon avenir, la fin de mon tunnel. C'est toi qui es présent quand j'ai besoin de toi. Non, tu n'as pas changé, toi mon ami d'enfance, mon ami de toujours.

Comme je viens de te le dire , Dieu t'a mis dans ma vie pour me secourir, me réconforter, venir à mon aide dans les pires moments de ma vie , oui les pires moments car il n’ y aura pas d'autres, ce que je vis est pire que la mort, est pire qu'à Dieu ne plaise que de perdre un être cher , car ce que j'endure est une mort lente qui me tue chaque jour, qui me lacère le coeur , les entrailles,qui me déchiquette morceau après morceau qui me torture à petit feu , qui dévore mon âme, ma joie de vivre. Oh comme j'aimerais en finir ! Je suis usée et desséchée jusqu'à la lie. Je suis vidée de tout, même de moi-même. C’est le diable en personne qui a volé mon âme.

Merci encore une fois d'être dans ma vie, d’être à mon écoute, d'être à mes côtés toi, mon ange gardien.
انتظار محموم

كنت حكاية عطرة
حكاية معبّقة بماء الورد
ومضمّخة بماء الزهور
كنت غراما جميلا
حلّقت معه فوق السحاب
تحفّنا الملائكة
الحرسة
أنتظر صوتك الذي لا يأتي
ومن خيبتي تضيع الكلمات
التي تعبّر عن فوضاي وحزني
كتلة من جليد
مشطورة الروح
لكأنّ الحياة غيّرت مسارها
توقّف الوقت
وانتحرت عقارب الساعة
فوق جدار الزمن

يجذب كياني
مغناطيس ضوء صغير
تباطأ في الوميض
وفي لحظة
انطلق الأمل
مع رنين هاتفي
مع صوتك النديّ
فاستيقضت حياتي
تنفّست
وارتعشت بالحياة
وداعا يا سواد ظنوني
مع كلماتك الحانية
التي تقوّيني
وتعمّدني
أنا الآن بفضلك
أحيا
فشكرا يا حياتي
لأنّك في حياتي

samedi 19 juin 2010

ATTENTE FIEVREUSE

ATTENTE FIEVREUSE…
Tu fus une belle histoire
Une histoire à l’eau de rose,
Parsemée de fleurs d’orangers.

Tu fus une belle romance…
Tu m’as fait planer sur un nuage,
Entourée d’une kyrielle d’anges
Qui veillaient sur moi-même à distance.

J’attends ton appel qui ne vient pas.
Je suis abasourdie et je ne trouve plus les mots
Pour exprimer mon désarroi, ma détresse.

Je me sens une boule de glace
Qui a transi mon âme.
La vie a subitement changé de cours,
Le temps a arrêté son vol,
Les aiguilles de la montre se sont figées
Et toute mon attention est captée
Par une faible lumière
Qui devait clignoter.

Tout à coup, une sonnerie…
L’espoir au bout du fil…
Ta voix douce prononce mon nom…
Je revis, je respire, je tremble…

Mes pensées noires se sont dissipées.
Tu m’as réconfortée,
M’as demandé d’être forte
D’affronter mes problèmes.

Je suis de nouveau vivante.
Tu as cru en moi.

Je te remercie d’être dans ma vie…

jeudi 17 juin 2010

A MON AMI D''ENFANCE, MON ANGE

Tu m'as écrit un jour que j'ai mis de l'épice dans ta vie. Je t'écris aujourd'hui que tu as mis un soleil

ardent dans mes jours ténébreux, mais que ce soleil disparaît des jours entiers derrière les gros nuages

noirs. Je suis vulnérable à chaque signe néfaste. Je ne supporte plus les surprises. J'ai envie de vivre sur un tapis volant et de planer au-dessus de mes problèmes. J'ai envie de tout lâcher, de tout oublier.

Dans ce cahier, je crie ma souffrance. Je mets à jour mes tortures. Je dévoile mes peines. Je ferme la
porte au désespoir et à la servitude. Tu es là, en face de moi, tu me guides vers la lumière, le salut, la délivrance. Tu es l'ange envoyé du ciel pour me sauver, me réconforter. Oh! Comme j'ai envie de te

serrer contre moi, de poser ma tête sur ton épaule. Comme j'ai envie de sentir la sécurité et l'amour. Cet

amour que je n'ai pas éprouvé depuis longtemps. Oh! Comme je souffrais près de ces êtres ignobles qui

n'ont pas su m'aimer.





Comment j’ai décidé d’être l’Eternel Féminin



Cette année, j'ai décidé d'être la Révoltée, l'Eternel féminin irremplaçable, le mille-pattes qui pincera et envenimera tout sur son passage. Et bien oui, j'ai réalisé mon rêve, j'ai atteint mon but. Enfin, j'ai tout

craché à la face de ces êtres odieux qui envenimaient ma vie. J'ai rompu le cordon de la servitude, le cordon du "OUI", dit malgré moi. J’ai crié leurs 4 vérités, je leur ai lancé ma haine, mes sentiments

envers eux. Ils m'ont fait souffrir pendant 15 ans. Ils m’ont abusée. Et le comble, c'est qu'ils ne se
rendent pas compte de ce qu'ils font ou disent. Je n'éprouve aucun sentiment envers eux, même pas la

haine, mais l'indifférence qui tue, car c'est un sentiment neutre. J'ai vidé le fiel qui me torturait, les idées noires que je ressassais, ce nœud qui me lacerait les entrailles. A présent je suis vidée et j'attends la
moindre réaction de leur part pour tout foutre en l'air.

vendredi 11 juin 2010

MA VIE

MA VIE
Je tiens mon crayon, incapable d’écrire…Mes mots s’entrechoquent, se bousculent, refusent de sortir.
Je gribouille, je rature…
J’ai les idées balloteuses. Je ne sais ce qui se passe. Je suis emportée au loin. Tout m’entoure et rien ne me tente.

MA VIE ? Peuh… je n’y crois plus…
Je déambule tel un pantin disloqué à la recherche de son équilibre, de sa joie de vivre, de la fin…
Que raconter ? Que dire encore ?
Son mal empire et ma souffrance a atteint son paroxysme. Je ne puis supporter davantage.
Il cherche la petite bête et fait tout pour me transmettre son mal de vivre. Il me pousse à devenir folle… hors de moi. Il me lacère les nerfs, meurtrit mon cœur et mes larmes ne tarissent jamais.
J’ai bâti mon bonheur sur des pilotis enfoncés dans du sable.
Mon bonheur est fragile et risque de disparaître à tout jamais : il dépend de celui qui en manipule les fils.
J’ai le sentiment d’être surveillée, épiée. Mes gestes sont calculés, mesurés par ses regards inquisiteurs, fouineurs, fureteurs…
Il vole mes moments, ma solitude. Cependant, il ne peut attenter à mes secrets les plus enfouis, à mes rêves, mes aspirations : ils m’appartiennent, ils sont collés à ma peau et sont tapis au fond de mon être, de mon cœur, de mes entrailles. Mon cœur ? Il vole en éclats les jours de crise. La haine le tambourine.
Des jours, je suis honnie, rejetée, d’autres, je suis flattée, adulée.
Mon bonheur se désagrège et éclate en mille morceaux.
J’erre dans cette vie à la recherche d’une âme sœur qui pourrait me tendre la main et m’emporter au loin.
J’aimerais bien que mon cœur irradie de joie, qu’il batte d’amour pour l’homme de mes rêves.

Jeudi 29 avril 2010

mardi 8 juin 2010

ELLE ET TOI

Elle te brime, t’accapare, tu n’oses même pas me regarder ou penser à moi.
Pourtant, j’existe, je suis là. Tu m’inspires, me pousses à crier mes sentiments, à faire gicler mes émotions.
Tu me tends la main, me serres les doigts. Je suis à tes côtés, dans le noir, dans un coin de ta vie.
J’attends un signe pour devenir lumière. J’attends un regard pour revivre et respirer.
Je te protège contre le mauvais sort, mais je suis incapable de te le dire. Elle m’entend, me surveille.
Et moi ? As-tu pensé à moi ?
Je t’écris, tu ne daignes pas répondre. Tu m’ignores, me relègues au fond de ta mémoire, tu m’effaces de ton existence. Tu me transformes en cendres puis en fumée et me chasses au moindre souffle de vent.
Elle est ta joie, ton désir
Je suis l’ombre et le néant.
Tu m’as bannie de ton existence.

8 juin 2010

jeudi 3 juin 2010

CHAQUE FOIS QUE...

CHAQUE FOIS QUE…..

Chaque fois que je m’enlise dans la boue de ma vie, tu es ici pour me secourir et me tendre la main pour me sortir de ce bourbier dans lequel je me débats.

Chaque fois que le sol s’ébranle pour m’aspirer, tu sors de derrière les nuages noirs et me retiens à la vie…
Il suffit que tu écoutes mon silence, que tu me regardes dans les yeux, que tu m’entendes soupirer, que tu me touches la main, que tu me voies de loin pour découvrir mes pensées les plus profondes.

C’est toi qui me retiens sur terre,
C’est toi qui me donnes la force de vivre, de continuer jusqu’au bout de mes rêves.
C’est toi qui me pousses à traverser ce tunnel si obscur….
C’est toi qui es l’espoir, ce pont jeté dans ma vie, pour me ramener à la vie….

ESCLAVE D'UN AMOUR IMPOSSIBLE ... EXTRAIT 5

Salut Pilar.

Ta maturité me plait, et il m'arrive de plus en plus de penser à toi que ca soit le matin, pendant la journée ou le soir. Je me demande ce que tu fais, à quoi tu penses, comment sera notre première rencontre, si on restera des amis, si je pourrai t'aider et toi m'aider, bref, 1000 idées me passent par la tête.

Un jour je serai vraiment capable de te comprendre, de t'analyser, de te déchiffrer et de connaitre tout sur toi et de devenir primordial dans ta vie, et je veux bien sûr que tu le sois aussi dans la mienne.
Aide- moi à te connaitre, aide-moi à me rapprocher de toi, aide -moi à t'aider, à te réconforter, à te consoler, à t'écouter, à te comprendre, à t'aimer, à t'adorer ! Oui je le veux, et je te le demande !

J'aime bien ta présence dans ma vie, je sais que tu m'apporteras confort et que tu seras à mon écoute, j'ai hâte de tout partager avec toi, même mes plus petits secrets et détails que j'ai jamais raconté à personne. J'aime bavarder avec toi, j'aime ton humour, ton esprit poétique, ta façon de dire les choses clairement, ton intelligence, ta beauté d'âme que je suis en train de découvrir chaque jour de plus en plus, j'aime ton esprit révolutionnaire, j'aime la femme espiègle et coquine qui git en toi , et je veux à tout prix découvrir la FEMME que tu es, la FEMME que tu me dévoiles vouloir être, je veux être avec toi pour te faire sentir de nouveau ta féminité que tu me dis avoir perdu ! Tu souris probablement là, en te disant " mais il est fou ce gamin, il n'a que 28 ans ! " , ma seule réponse est " qui vivra verra”, je te promets de faire de mon mieux pour être à la hauteur de tes attentes.

Il est 16h. J’attends impatiemment qu'on se parle je sens que je me confie à un psychologue, à un curé, à quelqu’un que j'attendais depuis longtemps et qui est là maintenant, je ne veux pas te perdre, je ne veux pas te blesser, je ne veux pas te peiner, j'espère de tout cœur et âme pouvoir t'apporter joie et confort dans ta vie.

ELLE ET LUI

LUI:

Tu me retiens sans que je ne retrouve plus la raison pour te Laisser et partir; m’aimer ainsi, tel que tu le fais me rend prisonnier de tes désirs…

ELLE :

Je te retiens prisonnier de mon amour naissant, un amour à ma façon, un amour spécial dont je suis la pionnière. Je te retiens dans ma vie… tu en fais partie désormais…mes liens se sont acheminés vers toi et de leurs caresses si douces t’enchaînent à moi , te lient à ma destinée, te font partie intégrante de ma vie….
OUI
Tu es dans ma vie, dans mes jours et dans mes heures.
Tu hantes mon quotidien…

BIPOLARITE

Que dire d’un hypocrite qui se cache derrière un rire forcé ?
Que dire d’un perfide qui joue la comédie ?
Que dire d’un caméléon qui attaque sa proie en tirant sa langue fourchue à double tranchant ?
Il a changé ses écailles en une peau lisse, parfumée mais gluante.
Il s’est métamorphosé en un beau papillon bigarré mais au dard empoisonné qui pique de son regard inquisiteur, sa victime à la peau diaphane et transparente.

Son rire est perfide
Ses caresses sont rageuses
Ses paroles au goût amer sont doucereuses

Il est ici, là, partout.
Il me calcine, m’enflamme puis m’éteint …
Il m’ignore, me fusille de ses questions, me fustige de ses mots lacérants…
Mon bonheur ? Qui parle de bonheur aux côtés de cet être indigne ?

MA PLUME

Quand je pense à toi ...
J'ai ma plume qui court pour t'écrire les plus belles merveilles.

Ma plume est une aiguille qui tricote mes sensations...Elle court sur ma feuille fleurie et entrelace les lettres pour les transformer en mots parfumés.
La plume, si légère est une note de musique qui emporte au loin la mélodie de mon cœur sur la portée du vent.

Ma plume est un ciseau qui taille les lettres et érige un temple de mots qui éternise ton souvenir.

Ma plume est une âme sœur qui cherche à te consoler, à sécher tes larmes et à te donner espoir...

Ma plume déverse son trop-plein de mots; elle est gorgée d'amour pour toi.

DESIR...

La bise tombe
Le vent se calme
Les flots s’assagissent
Et le bateau de mes jours
Tangue sereinement.
J’ai hâte d’amarrer
Et dans tes bras oublier
Que toi et moi croquons dans le même fruit défendu.
Je veux larguer les amarres
Me reposer et ne plus penser
Etre loin de tes caresses
M’enfuir telle une tigresse
Loin du piège qu’on lui a tendu.

POURTANT…
Je sens tes mains qui me prennent
Tes doigts qui effleurent ma peau
Tes lèvres qui me font tienne
Et ta bouche dans un sursaut
Me murmure de mots mielleux.
Te voilà dans la nuit,
Tapi sans un bruit
Et m’invites à ton nid mystérieux
Et passe la nuit à me lutiner
Je te regarde étonnée
Je suis assise dans ta loggia
Mon cœur si fébrile bat
Ton corps dégage une odeur ambrée
Qui attise mes sens et me grise
Non tu ne lâcheras pas prise
Tu me désires cette nuit
Et d’autres nuits encore
Et d’un commun accord
Nous nous délectons jusqu'à la lie.
Tu me veux docile et tigresse
Car dans mes bras, tu sens l’ivresse.
Tu me coinces contre le mur
Et déverse sur moi ta luxure.
Et de ma chair, assouvi
Tu me regardes d’un air épanoui…
Reste, reste, je te veux encore
J’ai tant besoin de toi
Et toi de moi
Tiens –moi la main et presse
Vide-toi et décompresse.
La vie est une ronde
Que notre amour inonde
Nous tanguons sur les ondes
Et nos désirs abondent…

TU ES LA....

TU ES LA…

Quand je lâche les rames
Que le remous m’emporte
Que mon âme va à la dérive…
TU ES LA…
Pour tirer le bateau de ma vie à la force de tes rames.

Quand je suis égarée
Dans les labyrinthes de mes jours
Que je me cogne aux murs du silence…
TU ES LA…
Pour dérouler ton fil et me ramener à la sortie à la force de ton amour.

Quand je suis enlisée
Dans mes sables mouvants
Que je me débats pour refaire surface
TU ES LA…
Pour me tendre la main et me retirer à la force de tes désirs.

Quand je suis ligotée dans mes enclaves
Que je me démène sans issue et avec rage
TU ES LA…
Pour me libérer de mes entraves à la force de ta passion.

Quand je suis au plus bas de l’échelle
Que je tombe sans pouvoir me relever
TU ES LA...
Pour me soulever de mes tourmentes à la force de tes bras.

Quand je broie du noir
Que je suis seule chaque soir
Au comble du désespoir
TU ES LA…
Pour illuminer mes nuits à la force de ton sourire...

TU ES LA… C’EST TON DESTIN D’ETRE AVEC MOI…
2 juin 2010

mercredi 28 avril 2010

."Esclave d'un amour impossible" (extrait 1 )
Friday, February 26, 2010
« Esclave d’un amour impossible »


Quand Pilar se réveille le matin, elle se sent nostalgique. Elle, qui a surmonté les épreuves les plus dures, est impotente face à cet homme de 18 ans son cadet, qui a fait irruption dans sa vie. Elle se rend compte de jour en jour qu’elle devient l’esclave de son joug. Il est son geôlier et la tient, tel un bourreau et l’emprisonne dans son cœur froid. Elle n’arrive ni à l’oublier, ni à la reléguer dans les oubliettes de sa mémoire. Elle aimerait tant le haïr, mais elle en est incapable. Il l’ensorcelle et la séduit. Elle veut l’arracher de sa vie mais il est son boulet et il est lourd à porter.
Cependant, elle le désire ardemment et veut le vivre jusqu'à la dernière goutte, jusqu'à la lie, jusqu'à transformer sa vie en calvaire.
Elle veut sentir ses mains la frôler, la caresser et l’emporter au septième ciel.
Elle retarde le jour de la rencontre pour mieux savourer l’instant des retrouvailles, pour mieux sentir ses étreintes. 3

esclave d'un amour impossible.... (extrait 2)
Thursday, March 4,
Je te quitte tout en sachant que tu n'as jamais été sincère
Je te quitte tout en sachant que j’étais affamée de toi
Je te quitte tout en sachant que la vie a condamné d'avance notre relation.

Tu as entre tes mains mes écrits
Lis-les de temps à autre pour te rappeler que j'ai existé un jour.
Lis-les pour te rappeler que j’étais sincère jusqu'au bout.

Tu sais, j’ai été victime de mes rêves, de mes illusions.
Je suis allée à la rencontre de ma propre fin.
Je suis tombée esclave de toi et de ton sadisme.

Je te mentirai si je te dis que je suis guérie de toi, que tu ne me tiens plus sous ton enclave...
Mais une chose est sûre, j'ai commencé à défaire les chaînes qui me liaient à toi.....


N'oublie pas que je vis dans ma littérature. J'ai tissé autour de toi une histoire pour m'inspirer et remplir les pages blanches de mon cahier.

Tu continueras à exister dans mes rêves, mon imagination, mes mots.....
Tout nous sépare et rien ne nous rapproche
Tout ce qui advint entre nous était de la pure littérature

Tu as su remuer en moi tous ces sentiments enfouis au fond de mon être.
Tu as été un instrument du destin.

Je te remercie pour ce bref passage dans ma vie.
Je t’aime, mais je ne veux plus de toi.... Tu m'as suffisamment fait souffrir....
Escalve d'un amour impossible (extrait 3)







Pilar avait décidé de ne plus lui donner signe de vie mais elle lui avait promis de lui envoyer une conclusion à ses écrits le concernant. Et bien, c'est aujourd'hui qu’elle a eu envie de le faire.

Un soir depuis, une semaine exactement, elle a écrit ceci :
Cela fait déjà une semaine que je n'ai pas touché à mon crayon. Je ne trouve pas les mots pour écrire. Je suis desséchée, tarie; mon inspiration m'a lâchée. Elle m'a tourné le dos et m'a joué un mauvais tour. J'attends un signe de toi pour faire exploser tous ces sentiments qui bouillonnent au fond de moi. Cela fait déjà une semaine que je rêvé d'entendre ta voix chaude, que je souhaite lire un seul message de toi...

He, restons sur terre, n'espérons pas; que dois-je attendre de quelqu'un qui n'a pas encore atteint la trentaine? Que dois-je espérer de cette relation mort-née?
Je dois me clouer au sol et arrêter de rêvasser et d'espérer. Ce fut une utopie, une période puérile qui m'a fait planer.

Je dois écrire pour t'extérioriser, pour t'effacer de mon existence. Je t'éliminerai avec mes mots, je te rayerai de ma vie avec mon crayon. Je ne te donnerai plus forme avec mes phrases. Tu dois disparaitre à tout prix.

Depuis quelques jours, je fermais les yeux pour revoir en image ton visage disparate et pour me retrouver seule avec toi. Maintenant tout est fini. Le rêve s'est arrêté, Là. Je ne fermerai plus les yeux pour chercher à te voir. Je me ferai aveugle et chasserai mes rêves. Je me ferai sourde jusqu'à oublier ta voix. Je me ferai toute petite pour que tu ne cherches plus à me voir.

Eh bien, c'est le dernier signe que je donne ... je ne sais pas si tu vas lire cette lettre, mais tôt ou tard tu le feras. J'espère qu'un jour je te détesterai, car sans que tu ne le saches tu m'as fait du mal. Laisse-moi te haïr avec amour…

TOI , TU TE TUES EN MOI..... 18 MARS

Tu viens te glisser dans mon lit froid
Te lover tout pres de moi
Tu prends la forme de mon corps.

Tes baisers me coupent le souffle
Ta bouche cherche la mienne
Tes doigts furetent mon gouffre.

Tu coules en moi tout doucement
Ton corps plonge dans le mien
Tu serres encore plus tes etreintes.

Tu te laisses envahir d'emotions
Tes reins se cambrent, se raidissent
Tu es au summum du desir.

Tes doigts dechirent ma chair
Tes levres mordillent mon lobe
Ta jouissance est si proche.

Tu pousses un rale ....
Tu gemis.....
Tu te retires....satisfait.

Te voila de ma chair repu
Toi, l'ange au visage dechu
Ta semence au fond de moi git.

TOI, TU TE TUES EN MOI....

HOMME DE PAPIER

Je sens ta présence
Malgré les distances
Un flot d’émotions intenses
Submerge mon être
Mon corps tremble et frissonne
Je me sens des ailes, qui, peut-être, un jour
M’emmèneront vers toi…

Tu as débarqué dans ma vie, toutes armes dehors
Tu as jeté sur moi ton dévolu,
Tu m’as rendue prisonnière de tes mots,
Esclaves de tes vers…
Bourreau de mon cœur,
Je sais que tu ne seras jamais à moi.
Bien que tu sois Mirage,
Je te cherche parmi les visages.
J’entends ta voix dans le chant des roseaux
Qui ondulent au gré de tes notes suaves.
Je sens tes doigts pianoter sur mon corps qui frissonne et tremble sous ton emprise peu sage.
Je hume ton odeur virile qui réveille mes sens sauvages.
Viens, approche-toi, prends forme.
Tourne ton regard vers moi, couvre mon corps de ton corps plein de rage.
Pour toi, mon Mirage, pour percer ta témérité,
Je serai Eternel afin d'assouvir tes désirs,

Je me ferai Féminin pour t'inviter dans mon alcôve
J'Enlèverai mon Litham, je serai Libre comme un Yearling

Tu goûteras à ma chair,
Tu croqueras mes rondeurs.

Je sentirai la texture de tes lèvres gourmandes
Sur ma peau basanée

Je viendrai vers toi, telle une tigresse,
Nue sous mes habits,

Tu me marqueras de ton sceau viril,
Je serai à toi...

Je sentirai tes lèvres suaves sur mon cou
Et je pencherai la tête à droite

Pour mieux te retenir le plus longtemps possible
Contre mon cœur, contre ma peau....
Tout feu, tout flamme

Relaxe-toi …..Ferme les yeux…. Et pense à moi….qui languis de toi.
Entends mes doigts courir sur ta peau.
Sens la fièvre de mes lèvres qui se précipitent sur ta bouche pour boire à ton jus et ressusciter l’homme qui dort en toi.
Brûle –toi du feu de ma passion qui grave ton âme du sceau de ma féminité.
Résiste à mes baisers fougueux.
Reçois la fièvre de l’amour et du désir que je mettrai dans ton cœur….
Laisse-moi t’aimer avec amour,
Sois ma drogue.
Enveloppe-moi dans tes sables mouvants.
Enfonce-moi dans les replis de ton cœur.
Remplis –toi de ma voix, de mes lèvres.
Embrase –moi du feu de ton corps.
Assouvis ta faim, cette faim que tu as de moi…

Je t’ai logé dans mon cœur, dans ma vie.
Je serai sulfureuse et toi adorateur de feu
Je serai le bois qui te brûlerait au lieu de te réchauffer,
Je me ferai volcan pour éteindre tes désirs.
Pourrais-tu résister à mes flammes ?
Pourrais-tu calmer mes ardeurs en déversant ton jus sur mon corps enflammé ?

Ranime la flamme qui agonise sous la cendre de mes amours défuntes.
Garde l’empreinte de tes doigts, de tes mains, de ton corps sur ma peau et dans mes entrailles….

Fuis-moi alors qu’il est encore temps ; je te brûlerai tel un phalène qui, ébloui par la lumière, ne sait pas encore que sa mort est imminente….

DECLARE- MOI, EXCLUE DE TA VIE.
Avril 2010

DU REVE A L'ÉSPOIR...AU DESESPOIR

Réponse à l’une des notes ….


Je suis survivante à mon imagination,
J’ai risqué de me noyer pour la énième fois,
Mais, in extremis, j’ai pu me sauver…

J’ai comprimé toutes ces illusions dans ma tête, dans mon cœur…
Et mon sang a giclé plusieurs fois dans mes veines.
Je me suis encore piégée dans mes rêves les plus fous…
Parce que j’ai cru en toi.
J’ai cru que mes plaies seraient cicatrisées, qu’il n’y aurait plus de traces à mes malheurs….
Mais, ce jour-là, j’ai affronté la dure réalité, cette réalité amère d’être rejetée, bannie de ton existence.

J’ai encaissé encore une fois, un coup.
Tes doigts ne peuvent plus essuyer mes larmes. Tu ne m’entendras plus crier ma peine. Je ne me lamenterai plus.
Je fermerai l’accès à tous les chemins sinueux qui faisaient naître en moi une douleur lancinante, une souffrance insupportable.
Je n’avancerai plus vers toi : tu fais désormais partie de ces gens qui m’ont enlisée dans l’inertie, qui ont brimé mes sentiments, qui ont fait couler mes larmes….

L’incertain, l’’incertitude m’empêchent d’être courageuse. Je suis encore fragile, indécise, impuissante devant le sort qui s’acharne sur moi… tu ne pourras plus jamais m’épargner cette peine, car tu es devenu le Problème. Tu ne pourras jamais m’aider à surmonter tout cela….

Je suis encore fatiguée, lasse et j’aimerais plonger dans le gouffre de l’oubli et dormir pour ne plus me réveiller…
Je ne voudrais plus comprendre, plus raisonner.
Je ne voudrais plus croire aux rêves trompeurs.
Tu ne pourras jamais effacer mes ennuis, ni me faire oublier mon désespoir…. Car tu es le Désespoir.

Mes larmes se sont taries, mes sanglots se sont étouffés.
Le vent a balayé mes joies, les nuages noirs se sont précipités et les éclairs fulgurants déchirent ma sérénité.
Mon cœur est bombardé par la foudre.

L’Espoir qui « avance tout doucement » a rebroussé chemin, faute de Guide…
Cet Espoir, c’est toi qui me l’as retiré.
C’est toi qui m’as plongé de nouveau dans le désespoir gris.
Tu as éteint le feu qui brûlait en moi.
Je ne t’allumerai plus jamais et je ferai tout pour être fumée et disparaître de ton âtre avec le vent.
Je ne serai plus Eternel Féminin, la Femme qui allume tes désirs… celle qui t’as promis une nuit d’amour à la belle étoile, lovés tous les deux dans l’herbe frissonnante….

Je vais tout lâcher, tout casser
Je vais rompre les liens qui m’unissent à ce monde virtuel, noyé dans les affres de l’hypocrisie, dans les remous de la chair.
Je tire ma révérence, je ferme le rideau et je m’en vais les poings dans les poches…..
Réponse à l’une des notes ….
Du Rêve … à l’Espoir….à la Désillusion….

Je suis survivante à mon imagination,
J’ai risqué de me noyer pour la énième fois,
Mais, in extremis, j’ai pu me sauver…

J’ai comprimé toutes ces illusions dans ma tête, dans mon cœur…
Et mon sang a giclé plusieurs fois dans mes veines.
Je me suis encore piégée dans mes rêves les plus fous…
Parce que j’ai cru en toi.
J’ai cru que mes plaies seraient cicatrisées, qu’il n’y aurait plus de traces à mes malheurs….
Mais, ce jour-là, j’ai affronté la dure réalité, cette réalité amère d’être rejetée, bannie de ton existence.

J’ai encaissé encore une fois, un coup.
Tes doigts ne peuvent plus essuyer mes larmes. Tu ne m’entendras plus crier ma peine. Je ne me lamenterai plus.
Je fermerai l’accès à tous les chemins sinueux qui faisaient naître en moi une douleur lancinante, une souffrance insupportable.
Je n’avancerai plus vers toi : tu fais désormais partie de ces gens qui m’ont enlisée dans l’inertie, qui ont brimé mes sentiments, qui ont fait couler mes larmes….

L’incertain, l’’incertitude m’empêchent d’être courageuse. Je suis encore fragile, indécise, impuissante devant le sort qui s’acharne sur moi… tu ne pourras plus jamais m’épargner cette peine, car tu es devenu le Problème. Tu ne pourras jamais m’aider à surmonter tout cela….

Je suis encore fatiguée, lasse et j’aimerais plonger dans le gouffre de l’oubli et dormir pour ne plus me réveiller…
Je ne voudrais plus comprendre, plus raisonner.
Je ne voudrais plus croire aux rêves trompeurs.
Tu ne pourras jamais effacer mes ennuis, ni me faire oublier mon désespoir…. Car tu es le Désespoir.

Mes larmes se sont taries, mes sanglots se sont étouffés.
Le vent a balayé mes joies, les nuages noirs se sont précipités et les éclairs fulgurants déchirent ma sérénité.
Mon cœur est bombardé par la foudre.

L’Espoir qui « avance tout doucement » a rebroussé chemin, faute de Guide…
Cet Espoir, c’est toi qui me l’as retiré.
C’est toi qui m’as plongé de nouveau dans le désespoir gris.
Tu as éteint le feu qui brûlait en moi.
Je ne t’allumerai plus jamais et je ferai tout pour être fumée et disparaître de ton âtre avec le vent.
Je ne serai plus Eternel Féminin, la Femme qui allume tes désirs… celle qui t’as promis une nuit d’amour à la belle étoile, lovés tous les deux dans l’herbe frissonnante….

Je vais tout lâcher, tout casser
Je vais rompre les liens qui m’unissent à ce monde virtuel, noyé dans les affres de l’hypocrisie, dans les remous de la chair.
Je tire ma révérence, je ferme le rideau et je m’en vais les poings dans les poches…..

samedi 10 avril 2010

QUAND J''ECRIS....

J’AIME QUAND…

J’aime quand tu te penches sur moi et que tu me murmures des mots d’amour
« Tu es ma reine pour toujours »
J’aime quand tu me tiens la main et que tu me serres les doigts pour me dire
« N’aie pas peur, je suis là »
J’aime quand tu me regardes de tes yeux langoureux qui me supplient de rester cette nuit et d’autres nuits encore
« Reste, j’ai envie de toi »
J’aime quand tu me promets de me rencontrer ici, ailleurs ou dans un lieu magique.
« Quand peux –tu venir ? »
J’aime quand tu veilles sur mon sommeil, même quand tu es absent.
« Dors paisiblement, tes anges veillent sur toi »
J’aime sentir ton souffle chaud sur mon cou qui m’invite à te rejoindre au – delà de tous les obstacles
« Sois à moi »
J’aime quand nous ne pouvons plus résister à la tentation de nous toucher, de nous aimer
« J’aime savourer ta chair »
J’aime quand tu m’aimes et que tu me fais sentir que je suis tienne
« Je suis en toi et toi en moi »
J’aime quand tu me promets qu’un jour je me blottirai dans tes bras
« Viens rester au creux de mon cœur »
J’aime quand à des kilomètres de moi, tu me couves de tes yeux virtuels
« Je te protège même à distance »
J’aime quand mon sang gicle si fort parce que je sais que tu penses à moi
« Ne m’oublie pas »
J’aime quand tu m’envoies des baisers virtuels qui me font rougir de pudeur
« Je t’envoie pleins de Smacs »
J’aime quand tu me réconfortes et me dis que je suis forte
« Ne flanche pas, j’ai besoin de toi »
J’aime quand tu me conseilles de transcrire ma vie, mes sentiments, mes rêves et mes folies
« Eternelle poétesse »
J’aime quand tu fais parties de mes occupations, de mes attentes fiévreuses et de mes envies
« Quand pourrais-je te voir ? »
J’aime quand tu m’encourages à avancer dans la vie, à éliminer tout ce qui entrave mon bonheur
« Vis, tu le mérites »
J’aime quand tu me dis que je suis la joie de vivre
« Gagne ta revanche autrement »
J’aime quand tu m’apprends à être femme romantique, sensuelle et passionnée
« Je te désire, Eve »
J’aime quand tu vois en moi l’âme sensible, le cœur débordant d’amour
« Sois heureuse »
J’aime quand tu m’écris
« Exprime tes désirs, ton amour, ta passion ; je suis sûr que tu y trouveras un grand plaisir »

J’aime quand je dois affronter mon destin à n’importe quel prix, simuler le bonheur afin de stimuler les autres…. « Materne-moi »

J’AIME QUAND JE TE CRIE « J’AIME LA VIE PARCE QUE TU EN FAIS PARTIE… »

lundi 5 avril 2010

Je Retiens ...

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JE RETIENS TA VOIX DANS MES OREILLES, CETTE VOIX SI DOUCE QUI ME MURMURE DES MOTS D'AMOUR ...

JE RETIENS TON SOURIRE POUR ILLUMINER MES JOURS SOMBRES PASSES LOIN DE TOI .... JE RETIENS TON ODEUR VIRILE AU CREUX DE MA MAIN ....

JE RETIENS TES BAISERS ARDENTS TOUT AU FOND DE MON COU ...

JE RETIENS TES DOUCES CARESSES RAGEUSES QUI FONT FRISSONNER MON CORPS ...

JE RETIENS LE GOUT DE TES LEVRES HUMIDES ET DE TA LANGUE GOURMANDE QUI CHERCHENT MES RECOINS ....

JE RETIENS LA TEXTURE DE TES DOIGTS QUI FURETENT AU FOND DE MOI ....

JE RETIENS TES PRUNELLES NOIRES QUI ME DESIRENT ET ME REGARDENT TENDREMENT ....

JE RETIENS TON TORSE NU QUI M'ENLACE ET ME SECURISE .....

JE TE RETIENS EN MOI, EN CROISANT LES JAMBES AUTOUR DE TA TAILLE ...

JE TE RETIENS, TU ES MON PRISONNIER AU-DELA DES ANNEES